Les dirigeants venellois seraient en train de plancher sur une éventualité qui pourrait faire saliver les supporters… En effet, ceux-ci réfléchiraient à introduire son entité Zahio en bourse ! Le groupe rattaché à la holding US Venelles bénéficierait ainsi d'une notoriété encore plus grande. S'il a pu recruter l'an passé des joueurs de renom comme Jack, Pierre ou encore Térence, il pourrait faire encore mieux l'an prochain ! On parle déjà de Marchand ou encore des retours de MC Tetchmark ou de Pintus. Que du lourd. La rumeur Rimber-Pyros, vieux serpent de mer du côté de Signoret, à l'instar d'un Jardel à l'OM, pourrait ainsi se voir concrétiser…
Pourquoi ? Tout simplement parce que l'introduction en bourse de la Zahio lui permettrait une levée de ses capitaux propres et d'ouvrir son capital à de nouveaux investisseurs… Le Cheik Enblanc serait d'ailleurs fortement intéresser pour injecter une grosse somme d'argent au sein du club. Un investissement massif qui lui permettrait d'attirer les plus grands : on parle du n°9 de l'AUC (le dégarni), du 8 de Gardanne ou encore de son gardien plutôt corpulent. Du lourd on vous disait.
La Zahio va donc lancer son premier appel public à l'épargne. On parle d'une action aux alentours des 10 €, ce qui lui permettra de garantir une grande crédibilité auprès de ses partenaires d'affaires. Un Club des partenaires privés seraient d'ailleurs en passe d'être créé, histoire de tisser du lien en matière de relations publiques.
Le revers de la médaille
Mais comment le coach va-t-il parvenir à gérer les égo ? Comment, par exemple, Cadichon appréhendera l'arrivée de plus gros salaires que lui ? Un clash n'est pas à exclure… Serge serait quant à lui déjà en train de renégocier son contrat pendant que Jack se frotte les mains : son agent avait déjà négocier la même clause que celle apposée sur le contrat d'un autre de ses clients, Carlos Tevez, qui aligne automatiquement son salaire sur le plus haut du club…
Bref, la Zahio est en train de rentrer dans une nouvelle ère, celle du foot-business. Mais c'est certainement-là le prix à payer pour gagner des titres. Mais ces investissements massifs devront se concrétiser sur le terrain. Sous peine de voir la faillite pointer rapidement le bout de son nez...
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